Cette fois nous nous trouvons entre les gares de La Tine et Rossinières (j'ignore pourquoi ce S) mais respectons pour le moment la légende du document.

Il semblerait que ce nom de Rossinière soit en fait tiré d'un mot signifiant en vieux patois "échafaudage pour faire sécher les pois, les fèves, les haricots".

Mais revenons à notre train, il est toujours emmené par une automotrice de la série 7 à 20 avec ses 2 lyres levées.

La photo a vraisemblablement été prise en été, la porte frontale étant ouverte afin d'amener un peu de fraicheur dans la cabine du mécanicien de locomotives.